A mon avis, l'étude ne cherche qu'une explication unilaterale: je peux comprendre les conclusions, mais je serais également intéressé par la situation du marché du travail/la réputation des parcours éducatifs:
Les entreprises romandes sont-elles par exemple moins intéressées par les collaborateurs formés en entreprise et proposent-elles donc en conséquence moins de places d'apprentissage ?
La formation professionnelle en entreprise est-elle généralement moins importante / moins considérée en Suisse romande qu'en Suisse alémanique, ce qui expliquera la préférence accordée à la filière académique ?
Ces aspects seraient tout aussi intéressants pour expliquer les différences, mais ils n'ont pas été mentionnés dans le rapport, à ma connaissance.